Analyse de la situation de la personne : - son existant,

- ses besoins immédiats à très court terme, - construisons le devenir,
- passage à l'automomie.

Nous l'aidons à créer sa structure, l'organisation de ses affaires : c'est elle qui décide de façon éclairée, qui assume ses choix, gère son financement.
Nous ne nous substituons pas aux structures existantes.

Pour éviter tout dérapage le modèle est :
"MAKERS" "CASH & CARRY" "AUTONOMIE"

Ne sont retenus que les projets de développement personnel autour d'une société commerciale autonome, de préférence autour d'une SAS ou d'une SASU, pour assurer une durabilité temporelle.

Nous offrons les services, réseaux de communications, l'accès aux achats permettant de concrétiser cet objectif.

Donc un magasin multiservice , à "magasinage" réduit au minimum, avec les technologies modenes.

Constatations navrantes de la situation économique et sociale de notre société.

Nous avons voulu voir comment on peut remettre sur "rail" des personnes ayant connu des incidents de parcours dans sa vie socialeet individuelle.

Nous avons repris notre analyse commencée , il y a maintenant plus de trente ans : comment assumer ses choix de vie, si l'on est plus en accord avec le système existant, ou que le système en place, nous a éjecté (!).

Le meilleur moyen est de se prendre en charge de A à Z .
Tout est dans la présentation du projet que nous reprenons (voir pages précédentes)

Dans l'esprit d'une économie responsable et solidaire, le mouvement "Makers" cherche à assurer le démarrage cohérent de nouveaux projets.

Ce n'est pas parce que :

- vous n'avez pas de diplome,
- vous êtes en échec professionnel,
- vous voulez changer votre façon de voir et participer au développement responsable ,

que vous ne pouvez pas mener à bien un projet.
Quand on a presque plus rien au sens habituel enseigné, rabaché, martelé .... On a toujours :

- des idées, une force mentale, un dynamisme que l'on peut vous restreindre , mais pas détruire sans votre consentement.

Donc pour redémarrer il faut :

- manger,
- travailler,
- un toit,
- un moyen de se déplacer de façon autonome

Donc au commencement ....
Il faut se nourrir et travailler !

Qu'est-ce qui a permis à beaucoup de laisser pour compte depuis plus d'un siècle de s'insérer de manière positive et enrichissante sur tous les plans :

Proposons aux autres nos bases culturelles universelles : "le manger" . Je vous propose mon savoir faire régionnal, vous me payer pour ce que je vous apporte ; et moi vous m'aidez à avancer, car pour m'inserer complètement j'ai besoin de

1) Nourrir les miens, 2) Leur assurer un toit, 3) Travailler

pour retrouver un bon morceau de liberté.
Utopie ? Non, ce n'est pas "Auroville" ... mais seulement et plus modestement de la bienveillance ... Une autre alternative dans l'esprit de Pierre Rahbi

Pour rappel sur quelques décennies :

Après les catastrophes économiques et sociales de la fin du 18° siècle (volcans, famines, révoltes, guerres) ...
Dans les années 1830 : la France est à 80% rurale. Une catastrophe arrive "Oidium" , plus de 90 % du vignoble français est détruit.

De grandes famines s'installent ... Idem quelques décennies plus tard ...

Dans notre société qui a dans les gènes une certaiane forme de solidarité (et une bonne connaissance de son histoire ...), il faut éviter que le peuple n'ait faim.

Donc on crée les grands projets :
- Barrage, chemins de fer, routes ...

Principe : travail contre nourriture : pas seulement pour celui qui travaille mais un plus pour ceux qui l'accompagne.

C'est le "new deal" français qui n'en a pas le nom, mais le travail de nos gouvernements. C'est l'esprit des Celtes (des gaulois si vous voulez).

CONTINUONS ...

Trois types de "produits"

1) Epicerie alimentaire auprès des grossistes régionnaux en "Cash & Carry" typiquement METRO

2) Réalisations d'objets à partir d'une chaine type "Makers" 3) Prestations de services à clientèle.

Dans l'esprit d'une économie responsable et solidaire, le mouvement "Makers" cherche à assurer le démarrage cohérent de nouveaux projets.

Ce n'est pas parce que :

- vous n'avez pas de diplome,
- vous êtes en échec professionnel,
- vous voulez changer votre façon de voir et participer au développement responsable ,

que vous ne pouvez pas mener à bien un projet.
Quand on a presque plus rien au sens habituel enseigné, rabaché, martelé .... On a toujours :

- des idées, une force mentale, un dynamisme que l'on peut vous restreindre , mais pas détruire sans votre consentement.

Donc pour redémarrer il faut :

- manger,
- travailler,
- un toit,
- un moyen de se déplacer de façon autonome

pour retrouver un bon morceau de liberté.
Utopie ? Non, ce n'est pas "Auroville" ... mais seulement et plus modestement de la bienveillance ... Une autre alternative dans l'esprit de Pierre Rahbi
Un nouveau concept de commerce , une évolution du "Commerce moderne de Bernardo Trujillo"